- L'HUMILITÉ
:
Cette Merveilleuse Qualité
complètement oubliée de nos jours, et qui était une des Vertus Caractéristiques
du Christ.
« Apprenez de Moi que Je
suis Doux et Humble de Cœur » dit Jésus (Matthieu 11-29)
L’Humilité est une Qualité qui
relève du Moi profond, intérieur. C’est un abaissement volontaire face à Notre
Créateur.
« Par la
Grâce qui m’a été donnée, Je dis (Le Christ) à chacun de vous, de n’avoir pas
de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes,
selon la mesure de Foi que Dieu a départie à chacun » (Romains
12-3).
« C’est pourquoi,
quiconque se rendra Humble comme ce petit enfant sera le Plus Grand dans le
Royaume des Cieux » (Matthieu 18-4).
Eh oui, l’Humilité est la faculté
d’avoir la lucidité et la sagesse de s’écarter de ce monde, et de prendre le
temps nécessaire et indispensable, de recul, de temps, de recueillement quotidien,
afin de conserver cette lucidité objective par rapport aux excès du monde, et
surtout de toujours rechercher la Présence Indispensable de Dieu.
« Que celui qui veut
apprendre la Véritable Humilité Médite la Passion du Christ » (Petit
Journal de Faustine).
- LA MISÉRICORDE DIVINE :
Venant du Christ, c’est le Plus
Beau et le Plus Pur Sentiment, et la Plus Belle Preuve d’Amour qu’il puisse
nous donner, à nous les hommes, pécheurs. Il fait preuve à notre égard, de
Clémence, de Générosité, et voit le péché avec Miséricorde. Sans cela, nous
serions tous perdus !
Le Christ a donné comme Mission à
Sœur Sainte Faustine de faire connaître Sa Miséricorde :
« Je désire que le monde
entier connaisse Ma Miséricorde. Parle au monde entier de Ma Miséricorde et
ainsi tu consoleras Mon Cœur. Je ne veux pas punir l’humanité endolorie, mais
Je désire la guérir en l’étreignant sur Mon Cœur Miséricordieux ; avant
le jour de la justice, J’envoie le jour de la Miséricorde ».
En effet, trois siècles après le
Message du Sacré-Cœur à Paray-le-Monial (revoir Tome 2), dans lequel Le Christ
se plaint de l’indifférence et de l’ingratitude des hommes, et appelle à
réparer, c’est-à-dire à L’Aimer pour ceux qui ne l’aiment pas, Le Christ redit
à Sainte Faustine :
« Je ne suis qu’Amour et
Miséricorde ! L’Âme qui fait confiance à Ma Miséricorde est la plus
heureuse car Je prends Moi-même Soin d’elle. Qu’aucune Âme n’ait peur de
s’approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l’écarlate ».
Le Saint Pape Jean Paul II a dit
deux choses importantes sur son lit de mort :
« Tout homme peut
expérimenter de manière unique la Miséricorde Divine, c’est-à-dire l’Amour qui
est plus fort que le péché ».
Et encore :
« Le genre humain ne
trouvera pas la Paix tant qu’il ne se tournera pas avec Confiance vers la Source
de la Miséricorde Divine ». Cherchons inlassablement cette Miséricorde Divine,
c’est capital !
- LE RÔLE ESSENTIEL DES FEMMES DANS L'
ÉGLISE :
Pleinement consciente de la
Dignité intrinsèque des Femmes, qu’elle reconnait comme
Égale des Hommes aux
yeux de Dieu, l’Eglise leur a apporté une Protection tout au long de l’Histoire
que la société leur a souvent refusée.
Mieux, Elle s’est appuyée sur
Elles pour répandre la Foi, dès les Origines du Christianisme. Oui, dès les
origines du Christianisme, les Femmes ont été impliquées dans la Transmission
de la Foi Chrétienne. Très présentes autour du Christ, elles ont joué un Rôle
Éminent,
offrant le Témoignage d’une Fidélité à toute épreuve, que l’on ne retrouve pas
toujours chez les Disciples.
Parfois nommées, souvent
anonymes, ces Femmes ont suivi Jésus, de ville en ville, tout au long de Son
ministère. Les
Évangiles les montrent au pied de la Croix, faisant passer leur
fidélité au Christ, avant leur réputation où leur vie.
Au fil des siècles, on retrouve
nombre de Femmes, dans les Communautés Chrétiennes, dans des rôles de
formation, d’éducation, de charité, et aussi comme Martyrs. De grandes Saintes
sont à l’origine de la création de Monastères, assurant le rôle d’Abbesses et jouissant
d’une autorité remarquable.
Enfin au
XXe
siècle, quatre
Femmes sont reconnues officiellement, et déclarées par l’
Église, « Docteures
de l’
Église ». Leur Enseignement est remarquable ! La place des Femmes dans l’
Église
évolue constamment encore, dans la prise de parole, la gestion, la formation,
du diaconat peut-être un jour. Seul, le rôle de Prêtre n’est pas
consenti pour ces dernières, car, on ne peut aller contre un Dogme évident de
l’
Église, et ceci est bien normal.
Je vous invite donc à partager
avec moi, simple Chrétien Ordinaire, ce nouveau Tome 3, qui je l’espère vous apportera,
un réconfort certain et de nouvelles Espérances. Bien à Vous ! Mickael TOIRG